samedi 1 septembre 2012

28/08/2012 12h : Chavannes sur l'Etang @ Centre Jean Barthomeuf (Stadium disposal)



Le réveil est difficile après cette grosse date de Buethwiller, assez étrange par ailleurs, et même assez incongrue. « Woah » se dit-on, comme pour vouloir dire « woah comme on schlingue, woah où on est ? Woah comme je suis décédé ? ». Ce n'est qu'en allant déposer sa pêche matinale que DJ LA Jer hurle un « AAAAAVAVAVAVAVAVA » de douleur. Il raconte qu'il a un bouchon de tapenade qui lui a été fourré dans le derche sans qu'il s'en aperçoive. Nos tiffs luisent la matière infâme et fashionable de cet apéritif. Nos espadrilles ont été mangées par notre propre haine pour ces chausses. Aussi, on est assez peu surpris de remarquer qu'on se réveille dans une grange, entourés de brebis ensanglantées et de nanas moches qui ont acceptées nos suppliques pour une agréable soirée. On n'a pas la force de les voir se réveiller, aussi se casse-t-on, DJ LA Jer, un peu la larme à l'oeil de tout le sang que l'évacuation du bouchon a occasionné s'exclame « J'aime bien les p'tits trucs, mais là c'en était pas un... ». Sur quoi on s'ouvre tout les deux une Maximator pour entrer dans notre minibus. On apprend alors qu'on est en Franche-Comté, à un patelin de Chavannes. C'est donc nickel.

Nos roadies (qui sont des hommes lambdas choisis pour leur incompétence et leur étrangeté par notre chauffeur) installent la statue en bronze immense qui nous représente . Problème, elle ne rentre pas dans la salle. Ce n'est pas un problème pour eux, ils appellent Jojo qu'à l'hélico et ils la balancent sur le toit du célèbre centre Jean Barthomeuf. De l'intérieur, la statue étant tellement grande pour bien faire « stade », on ne nous voit que jusqu'au genou. Le commis voyageur, notre fidèle, s'affaire lui aussi en installant la pyrotechnie.

On peut alors se détendre en attendant midi, que les têtes de veau et les tripes arrivent pour les menus enfant. Le paradoxe concert de stade et dîner dansant est du plus bel effet, mais on va en payer le prix. La régie envoie « Tostaky » pour notre entrée qui se fait par trappe éléctrique en dessous de la scène. Une bande de jeunes ivrognes, qui nous ressemblent trait pour trait, commencent à lancer un pogo, détruisant le festin et manquant de peu de tuer deux trois grand-mères. La sécurité veut les virer (c'est à dire le commis voyageur), mais les bougres sont impalpables.

Ils sont en fait l'image de vos serviteurs plus jeunes. L'image de nous-mêmes, alors que nous étions à une soirée quelques années plus tôt, transposée au temps contemporain. Les mouvements de notre passé se meuvent devant notre musique. Trop pour le cosmos, qui se décide à obscurcir le ciel et balancer un simili ouragan. Un trou noir semble même se former au dessus du clocher de l'église. On va tirer à boulet rouge de sons sur le trou en formation, lançant de grands classiques du stadium rock revisités (Foreigner et Van Halen en tête). Pour conjurer le mal, nous demandons à tous de péter les décors de kermesse qu'ils trouveront à l'arrière salle, de massicoter des oreillers, de briser leurs verres, et d'exécuter une danse macabre, s'ils ne veulent pas voir leur village disparaître dans « eu'lnéant ».

Nos deux avatars ont presque foutu le camp, quand DJ LA Jer, avant son double, hurle, « IL EST OU JEAN-GO ? DEDICACE LA PLUS BELLE CHANSON DU MONDE », sur quoi il met Stairway to Heaven, en n'oubliant pas de se reservir de liqueur de cassis et de Maximator. Problème, cette cohésion trop parfaite avec le passé que nous essayons de devancer (pour anticiper ces mouvements que nous avons déjà accompli et les faire taire à jamais), fait que nos anciennes formes prennent la liberté de faire ce que nous n'avions pas fait, en cette soirée de Décembre 2006. Ils vont jouer avec les pyrotechnies qu'ils perçoivent (et qu'ils ne devraient pas voir, s'ils sont encore dans une autre dimension). Tout pète en un instant. Les feux d'artifices prévus pour tout un concert pharaonique, explosent simultanément en une fois.

Le public en transe, jetant des regards ahuris et sauvages sur ce spectacle semble l'apprécier... le trouver même très beau. Comprenez bien et imaginez la décadence d'un public qui n'est plus lui même et qui parle presque l'araméen sur les notes de nos chansons tubesques. Nos doubles meurent dans un brasier...les pompiers arrivent très vite pour endiguer un incendie qu'ils n'endigueront pas, qui brûle encore aujourd'hui aux dernières nouvelles. Le souvenir de ce lieu semble l'attiser. Nos figures du passé sont bien mortes, on les a tuées. Mais ne demeurent-elles pas ? « On est pas débarassé de ces souvenirs je crois » dit DJ La Jer en finissant de se faire soigner une bourse brûlée - qui n'est plus que cloque - qui pendait hors le short pendant le set. « A Chavannes » dit DJ Jean-Go en levant une canette de Maximator.

On leva nos réceptacles divins à la santé du trou noir disparaissant, que nous avons vaincu en lui opposant pour paradoxe suprême notre musique. On appose nos canettes devant le trou noir pour le photo shoot qui fera la première page couleur des DNA.

Et pendant ce geste, une musique de fin de film résonne de nulle part...nous sommes fixés dans un arrêt sur image, comme pour préparer le défilement d'un générique devant nos canettes. Un générique passe effectivement, ce à quoi nous décidons d'arrêter tout de go la Maximator. Mais un regard de notre commercial de choc nous suffit à comprendre qu'il n'en était pas question. Demain est un grand jour...que d'aucun artiste sundgauvien n'appelle « les Bermudes sundgauviennes », comme le rappelle DJ La Jer, dont les yeux commençaient à disparaître derrière des joues fourrées par la délicieuse dame alcool. 

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Quelques heures après Buethwiller grande difficulté, étrange aussi bien, et même tout à fait inapproprié. "Stop" pour comprendre, comme je l'ai dit, «comment schlingue Wow, Wow, où est-il? Wow, je suis mort?". C'est cabanes de pêcheurs seulement le matin DJ LA Jer "AAAAAVAVAVAVAVAVA" cris de douleur. Il dit qu'il farci de tapenade couverture , qui a été négligé dans derche. Notre matériel infâme querelle éclat et la mode dans ce casse-croûte. Nos formateurs ont mangé notre haine pour ce pantalon. Il ya aussi un peu surpris que se réveille le sang versé des moutons et des filles laides qui ont accepté notre demande pour une agréable soir dans le quartier. Nous ne voyons pas les réveiller, nous rompons, est appelé DJ Jr, une petite larme dans l'œil de l'évacuation du sang »appelé cap, J, comme les« petites choses, mais ce n'était pas ... ". Cela permettra d'ouvrir tous les deux Maximator entrer dans notre van. Nous savons que lorsque nous sommes en Franche-Comté, la ville natale de Chavannes. Cette nickel.

Nos roadies (hommes lambda qui ont opté pour l'incompétence et l'étrangeté de notre chauffeur) pour installer une statue géante en bronze qui nous représente. Le problème, c'est qu'il ne rentre pas dans l'espace. Ce n'est pas un problème pour eux, ils l'appellent hélicoptère Jojo et balancent leur toit fameux Jean Barthomeuf. De l'intérieur de la statue si grand pour bien faire, le «stade», nous avons vu que le genou. Vendeur, nos fidèles, même si vous réglez la pyrotechnie.

Nous pouvons avant midi, obtenir la tête de veau et les intestins se détendre menu pour enfants. Concert stade de Paradox et dîner dansant est du plus bel effet, mais nous allons en payer le prix. Le contrôleur envoie "Tostaky" pour notre dossier, qui est produite électrique porte arrière sous la scène. Un groupe d'hommes ivres, qui nous ressemblent, commencent à pogo, qui détruit les deux ou trois dures et manquant de peu tuant des grands-mères. La sécurité, c'est le transfert (c'est à dire, voyageur de commerce), mais les garçons n'ont pas d'importance.

Ils sont en fait une façon de tes serviteurs les plus jeunes. L'image de nous quand nous étions à une fête, quelques années auparavant, a déménagé à présent. La motion visant à passer de notre passé à notre musique. Trop d'espace, la solution pour assombrir le ciel et prenez la modélisation des ouragans. Le trou noir semble donner même le clocher de l'église. Nous allons tirer une boule rouge dans le trou sonore, rock dans le stade classiques revisités commence (Foreigner, Van Halen et la tête). Pour conjurer le mal, nous demandons instamment à toutes les décorations de carnaval pet se trouve dans l'arrière-salle des oreillers guillotine, briser le verre, et effectuer une danse de la mort, s'ils ne veulent pas que leurs villages disparaissent "eu'lnéant".

Nos deux avatars presque enculer si DJ Jr de doubler en criant "ceci ou Jean-GO est la plus belle chanson de la dédicace du monde?" Ce à quoi il Stairway to Heaven, pour ne pas mentionner reservir de liqueur de cassis et Maximator. Le problème est, il est également prise en main parfaite dans le passé, ce que nous essayons d'aller de l'avant (mouvement de supposer que nous avons déjà accompli et une sieste), qui prennent nos vieilles formes, la liberté de faire ce que nous avons fait sur le soir de Décembre 2006. Vous voyez, avec la pyrotechnie jeu (et ils ne voient pas qu'ils sont encore dans une autre dimension). Chaque pet dans un instant. Feux d'artifice Pharaons dans le concert prévu simultanément exploser immédiatement.

Le public était en transe et regarda hébété et sauvage, il semble que ce spectacle ... La belle même. Comprendre et présenter le déclin de l'auditoire qui ne parlent pas l'araméen lui-même et presque de nos visites. Notre double frappe dans le feu ... Les pompiers sont arrivés rapidement le feu ne les brûle pas aujourd'hui endigueront avec les dernières nouvelles sur. Le souvenir de cet endroit semble être mélangés. Nos chiffres du passé sont morts, ils ont été tués. Mais ne peut toujours pas? «Nous ne vous débarrassez pas de ces souvenirs que je pense», a déclaré DJ Jr processus se termine bourses brûlé - plus de blister - pend à court terme. "Chavannes", a déclaré Jean-Go DJ sur Maximator peut.

Nous avons soulevé notre santé vaisseau divin du trou noir, nous avons gagné au paradoxe élevé de notre musique. Nous apportons nos banques du trou noir pour une séance photo, qui sera la première page couleur de l'ADN.

Et ce geste résonne fin de la musique de film de nulle part ... Nous avons mis une image fixe est un scrolling générale devant nos doses préparer. Le montant total qui s'est réellement passé, c'est que nous avons décidé de ne plus aller tous les Maximator. Mais coup d'oeil à notre choc commercial est suffisant pour comprendre qu'il n'y a pas de doute. Demain c'est le grand jour ... que chaque artiste a un Sundgau. le sol est appelé "sundgauviennes des Bermudes», comme l'a rappelé DJ Jérémie, dont les yeux sur ses joues remplies de délicieux dame disparaît alcool


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