dimanche 26 août 2012

Conférence de presse pré tournée.

Nous avons décidé, afin de mettre les choses au point, d'organiser une grande conférence de presse à la maison de la nature d'Altenach, puisqu'il s'agit de l'alpha de notre tournée. L'heure de déployer un style impersonnel et totalement personnel, pour plus de clarté. 

La table était décorée à l’effigie du design de la tournée que vous avez déjà pu voir. Des cannettes de Maximator remplaçaient les traditionnelles Cristalline de circonstance, du moins pour nos deux places (nous avons opté pour deux Voltaires flamboyants. L'adjoint au maire et le conseiller régional ont en revanche choisi la sobriété des chaises disponibles).

Rendez vous fut pris à 7h en dernière minute (la presse locale a été avertie par le prisme d'un télégramme diffusé à 5h). Maigre déception de notre part, nous devons vous l'avouer, la salle n'est qu'à moitié pleine. 150 personnes assisteront donc à une conférence de presse riche en émotions. En effet, le Heimweh est un peu dans nos coeurs, même si nous jouons à domicile. C'est qu'on ne reverra pas le gîte avant un moment. Pour ce qui est du couvert, nous ne savons pas encore quoi en dire. 

7h, ouverture des portes donc. Quelques badauds ahuris, échappés de la maison de retraite des environs, deux exhibitionnistes, un fan et une autre bande de badauds (qui semblent être débarquée dans notre dimension depuis les abîmes de l'astral). "Peu de gonzesses", s'exclame DJ LA Jer. Un car de touristes venus d'Albanie pour préparer le jumelage Kükes/Altenach s'asseyent pour profiter d'un spectacle qu'ils ne comprendront que peu mais qu'ils semblent avoir pourtant apprécié, si l'on juge la manière dont ils se frictionnaient mutuellement leurs braquemarts.

C'est un peu ce genre d'émotions que l'on ressent sur le visage des badauds. La musique d'attente est un medley de tubes (non revisités par nos soins) de variété et de chansons populaires. Sourire nostalgique , pour des vieillards ne parlant qu'alsaciens, accompagné d'un regard fermé et une tête dodelinante aux faux souvenirs qui émanent de chansons qu'ils ne connaissent pas. "C'était le bon temps" semblaient-ils s'exclamer. Très vite, quelques grattes papiers pressés d'en finir (sauf les journalistes du Time Magazine, visiblement ravis d'assister à l'événement), peu convaincus par le Kougelhopf de la rue haute, s'empressent de s'installer. 

C'est l'heure du câlin pré tournée et homosexualisant, et de la Maximator à cul sec, pour plus de volubilité, de larmes, et de brillance dans le propos. 

Voici très brièvement, le communiqué qui paraîtra dans les pages de vos quotidiens demain matin : 

DU RIFIFI DANS LE SUNDGAU 

"Quelques 30 personnes étaient réunies Dimanche matin à la maison de la nature d'Altenach, pour célébrer avec Industrial Jesus Waste, l'avènement d'une nouvelle aire musicale, et d'une énième tournée. Tout de suite, le ton est donné. Une profanation de notre drapeau sundgauvien, ponctuées de photos pour le moins étranges. Un chanteur de variétés allemandes sur la gauche, dont nous ne sommes pas certains de retrouver l'identité. En revanche, certaine était notre intuition sur ce qui constituait les deux autres vignettes. Des chiens copulants à gauche et au centre, comme pour combler un spectacle suffisamment outrageant, nos deux héros qui se malaxent avidement le sexe. "Cette mise en scène est un moyen de mettre en avant l'animalité de la fraternité. Dans des temps de normalisme politiques, ou de jean roucasseries bourgeoises, il était peut-être tant de le rappeler" hurle DJ Jean-Go. Les deux compères ne manquent pas d'air. Ils sont voilés au niveau des yeux, et semblent arborer une démarche m'enfoutiste inédite depuis l'époque des rouletabilles. "C'est notre style golden boy des années 90 des années 2010 qui sont totalement les années 1980" s'exclament-ils (bizarrement) de concert. C'est que les deux pleutres parlent souvent en même temps, ou de façon synonymique. Les journalistes les plus attentifs et les plus avides des paroles qui sortaient de la bouche de ces deux nouveaux gourous de la french touch l'ont pour ainsi dire noté. Nous vous donnerons l'exemple le plus marquant. A la question : Pourquoi le Sundgau ? La réponse a été donnée en au moins dix temps. 

DJ Jean-Go : Parce que ça a été une manière de retourner aux sources. C'est emmerdant à la longue, de flemmarder dans des soirées huppées et autres parties fines de richards. Nous sommes plus humbles, plus simples...plus pauvres en somme. Plus honnêtement, notez le bien, puisque nous aurions pu dire que notre passion pour ce genre de fêtes a été proportionnelle à la perte de gaule de DSK, au delà de l'humour et des scandales qui vous plaisent, vous...vous hygiénistes, vous ronds de cuirs, c'est que nous sommes nés ici musicalement, que nos pets sentent ces terres, et que nos cerveaux sont embrumés par nos errances villageoises et populaires. Nous trinquons à la santé de ces visages, de ces souvenirs...et de ce beaux pays. Ces souvenirs qu'évoquent par exemple sans les évoquer la musique que nous passons en boucle depuis tout à l'heure.


DJ LA Jer : Tu fais bien de le noter...pour ma part, je tournerai la chose différemment... Car cela a été une façon de chavirer vers notre amont. Il est chiant avec le temps de paresser en les nuits cossues ou partouses de nababs. Nous nous trouvons être davantage trimardeurs au demeurant. De jure, écrivez le correctement, parce que nous aurions été à même de scander que notre marotte pour cette allure de ducasse a été relative à l'altération de la tumescence de DSK, par delà la plaisanterie et des baroufs qui vous satisfassent, vous...vous aliénistes, vous cercles de peau de bêtes rendues à l'état de canapé, il se trouve que nous avons vu le jour en ces lieux mélodieusement parlant, que nos vesses hument cet humus et que notre matière grise est embrumée par le prisme de nos nomadismes ruraux et plébéien. Nous levons nos verres à la prospérité de ces bobines, de ces remembrances...et de ce bled dameret. Ces remembrances que décrivent notamment sans  les décrire la chanson que nous jouons en cycle dès avant. 

DJ Jean-Go : Ah si tu vas par là, je m'exprimerai avec des mots peut-êtres plus clairs. En effet, cela a été une métode de rebrousser chemin en la direction de notre étymologie. Qu'il est emmerdant avec le temps qui s'écoule dans la clepsydre des âges de rouler notre bille dans les raouts oppulents et autres parties de débauche sexuelles impliquant plus de deux partenaires d'une bande de satrapes. On est plus médiocres...plus mendigots en définitive. Pluà pas proprement, libellez le bien, comme nous aurions été dans la capacité de formuler une maxime selon laquelle notre entichement pour cet embranchement de ribouldingues allait de paire avec la leuchorrée de la turgescence de DSK, bien plus loin que l'horizon des farces et des rébeccas qui vous excitent, vous...vous phrénologistes, vous orbes de dermes des bovins qui s'érigent mystérieusement en récamiers, c'est que nous avons éclos en ces paturages conformément aux règles de la musique, que nos gazs intestinaux qui s'échappent de nos anus exhalent cette patrie, et que nos substances de blanc et de noir mélangés se trouvent être nébuleuses par nos pérégrinations rustres et prolétariennes. Nous disons "prosit" à ces hures, à ces reliques...et de cette contrée bath. Ces reliques que modélisent en matière de schéma explicatif sans pour autant les modéliser l'hymne que nous reproduisons artificiellement par un lecteur de disques lasers, et ce ad libitum à partir de tantôt. 

(le rédacteur en chef a jugé bon d'arrêter ici ces diatribes).

Pour aller plus vite, et puisque les pages qui me sont attribuées nous manquent pour parler de l'essentiel, voici les temps forts de la conférence. 
"Ah ça a été un plaisir pour nous de pouvoir bosser avec Patrick (Bosso ndlr). Il est charmant. Son numéro qu'il présentera avant notre concert à Bellemagny, promet quelques belles surprises (notamment un sketch à poil)."

"C'est un peu pareil pour Thierry (Beccaro ndlr). On l'a vu un jour dans Motus, on s'est dit : il faut bosser avec ce gars là, il à un groove d'enfer"

"On a pu ajouter quelques noms en première partie, notamment pour notre antépénultième show : Bernard Montiel fera un numéro animalier avec Farouk sur fond des chariots de feux, pendant que Allain Bougrain Dubourg scande du Antonin Artaud. On prévoit une immense projection de la mort dudit Bernard dans son ultime épisode de Sous le soleil (en boucle, et en rotation à 360 degrés à intervalle régulier)."

"Avavavavavava"

"Voyez vous, le boudin créole pique par deux fois...une fois quand il rentre, une fois quand il sort"

"Cette tournée promet d'être un moment satisfaisant tout en étant moyen, grandiose tout en étant dispensable. Mais tout cela ne sera pas, et ne sera seulement une fois que l'on pourra vraiment poser un regard dessus...(larmes)...Je t'aime..."

"AAA PAIRE DE COUILLES AAA" (ce propos a été hurlé par un badaud qui a reçu pour réponse une illustre démonstration des talents de bagarreurs des deux musiciens. Qui se sont retrouvés sonnés, et qui marqua la fin de la conférence).

Mais quelques minutes plus tard, et les compères, bras dessus bras dessous avec leur agresseur, en bons chrétiens, s'en vont en disant "Allez hop, on y va", prirent leur voiture en direction de la SIAEP, dans leur mini bus qui criait "Jetzt Geht's Los" à qui voulait l'entendre et à toute blinde, dans les rues encore endormies d'Altenach. On a par ailleurs cru discerner les mots "Crevez, connards", suivi d'un coup de fusil, mais qui n'aura blessé que le veau de Pierre Schlager. Il sera d'ailleurs proposé à la broche à la suite du concert." 

Vue en hélicoptère de la Maison de la Nature prise ce matin, alors que l'on voit les premiers badauds ahuris se diriger vers l'entrée.

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Nous avons décidé de faire comprendre, tenir une conférence de presse à la maison Altenach nature parce que c'est une version alpha de la tournée. Temps d'offrir un style très personnel et impersonnel, pour plus de clarté.

Le tableau a été vu avec la tournée conception de l'image vous déjà décoré. Maximator banques remplace les circonstances classiques en silicium cristallin, au moins pour nos deux sièges (nous avons choisi deux extravagante Voltaire. Adjoint au maire et conseiller municipal de la sobriété marqué chaises).

Le rendez-vous était à 7h00 à la dernière minute (dans la presse locale a été racontée à travers le prisme de l'émission à 05.00) fait. Lean déception de notre côté, nous devons dire que la salle n'était qu'à moitié plein. Dim. 150, lors d'une conférence de presse, pleine d'émotion. Le mal du pays est un peu dans nos cœurs, même si nous jouons à la maison. Est-ce que nous ne voyons pas de logement à l'heure. Pour ce qui est couvert, nous ne savons toujours pas quoi dire.

0700, ouvrant ainsi la porte. Certains téléspectateurs sont confus, sortez de la maison de retraite près de deux exhibitionnistes, des ventilateurs et autres bandes public (qui semble avoir été dans la dimension de la profondeur de la nappe). "A quelques poussins», s'exclame-t-DJ LA Jer. Séjour à partir de l'Albanie Kukes jumelage / sit Altenach préparer à montrer qu'ils comprennent que, pour profiter de quelque chose de plus, mais ils semblent l'apprécier, juger, comme elle frotte son braquemarts l'autre.

C'est fondamentalement le genre d'émotion que vous ressentez. En face de l'auditoire dans le pot-pourri de musique d'attente du tuyau (non vérifié par nos soins), et une variété de chansons populaires. Sourire pour les qu'alsaciens anciens parlent avec nostalgie, les yeux fermés, et hocha la tête des faux souvenirs qui sortent des chansons, ils ne savent pas. «C'était un bon moment," ils semblaient appeler. Pour terminer bientôt une poubelle à la hâte (sans Temps journalistes magazine, visiblement ravi d'être impliqué dans l'événement), estime que la grande rue Kougelhopf se précipita à installer.

C'est un temps pour embrasser et un tour préliminaire à avaler Maximator homosexualisant et plus verbeux, les larmes et la brillance dans les commentaires.

Très brièvement, dans un communiqué sur les pages de votre quotidien du matin publié:

En Rififi SUNDGAU

"Environ 30 personnes se sont rassemblées dimanche matin à la Chambre de Jésus Altenach déchets industriels au début d'une nouvelle ère de la musique, et encore plus pour célébrer une autre tournée. Immédiatement sonores. Profanation de notre demi drapeau Sundgau, photographie moins étrange interrompu. Allemand chanteuse pop sur la gauche, nous n'avons pas trouvé une identité. cependant une certaine intuition de ce qui étaient les deux autres vignettes. pattes des chiens, et à gauche, au milieu, comme le montrent les scandaleux assez pour remplir nos deux héros, qui cherchent à pétrir le sexe. " Cette méthode de production d'affecter la fraternité animale. Roucasseries normalisme en temps de jeans civils ou politiques, elle pourrait se rappeler que "crie DJ Jean-e. Les deux garçons ne manquent pas d'air. Ils sont cachés de la vue et de regarder toute approche enfoutiste innovante moi depuis rouletabilles." C'est notre style golden boy 90-années 2010, qui sont entièrement des années 1980, "ils ont appelé (étrangement) ensemble. fait que deux courts métrages souvent en même temps, ou des synonymes. journalistes sont très attentifs et vigilants, en disant: sortir de la bouche de deux gourou nouvelle touche française créée, nous vous donnons "demandé exemple le plus frappant: .. Pourquoi Sundgau a reçu une réponse à au moins dix fois.

DJ Jean-Go: Parce que c'est une façon de revenir à l'essentiel. C'est dans les longues soirées dans une miche de perdrix et d'autres parties Richards peine gênant. Nous sommes humbles, simples ... montant pauvres. Le plus honnête, eh bien, nous pourrions dire que notre passion pour ce type de célébration était proportionnelle à la perte de DSK pôle, l'humour et les scandales que vous le souhaitez, vous ... Hygiéniste est une comédie musicale en cuir ronde, nous sommes nés ici, nos animaux de compagnie se sentent le pays, et notre cerveau est obscurci nos promenades et le village populaire. Nous sommes sur la santé de ces personnes, les souvenirs ... initiation et de ce beau pays. La mention de ces souvenirs de donner l'exemple et sans cycle musique, alors que nous allons de l'appelé précédemment.


DJ Jr: Vous feriez bien de prendre note de ... Pour sa part, je vais le faire autrement ... Parce que c'était un moyen de transformer nos fournisseurs. C'est ennuyeux sur prélasser dans un temps magnats orgies en peluche ou nocturne. Nous avons aussi d'autres clochards. De jure, à écrire correctement, parce que nous devons être capable de chanter notre enthousiasme pour ce type de changement Ducasse DSK était gonflement. En plus de la blague, et vous voyez que vous baroufs Psychiatres vous .. Elles vont de la peau de l'animal dans un état du canapé, c'est ce dont nous parlons ci-chaussée mélodique, reniflant nos vesses de l'humus et le cerveau à travers le prisme de notre rurale ternie nomades et les plébéiens. Nous élevons un verre à la réussite de cette bobine, les souvenirs ... Dameret sang et. Ces souvenirs qui décrivent sans décrire chanson en particulier que nous jouons temps de cycle avant.

DJ Jean-GB: Oui, si vous y allez, je vais parler avec des mots, pour être clair. En fait, il metode a dû rebrousser chemin en direction de notre étymologie. C'est ennuyeux, comme toujours dans le rôle de l'âge balle clepsydre qui travaillent dans nos oppulents routes et d'autres parties de débauche avec plus de deux partenaires sexuels au cours des satrapes du groupe. Ceci est médiocre ... plus de mendiants dans la finale. Pluà pas étiqueter correctement la propriété comme nous le faisons, la capacité à formuler le principe que notre enthousiasme pour cette ribouldingues industrie est allée de pair avec le DSC turgescence leuchorrée, à l'horizon, et des blagues avec Rebecca, vous vous inspirer ... Phrenologists, vous avez passé la croissance derme bovin mystérieusement mensonge, que dans ces prairies glissé sous les règles, la musique, «notre exhalation de gaz intestinaux S en dehors de notre cul de ce pays, et que notre tissu noir et blanc métissé de brouillard randonnée et grossier prolétariat. Nous disons «hourras» est Hures, ces reliques de ce pays ... et salle de bains. Ces reliques modélisent schéma explicatif pour le modèle sans l'hymne que nous reproduisons artificiellement à l'aide d'un lecteur de disques laser et beaucoup maintenant.

(Sous la direction a jugé nécessaire de garder ces diatribes ici).

Pour aller plus vite, et les pages à moi que ce n'est pas le cas, nous allons probablement inclure ici, les faits saillants de la conférence.
"Oh, c'était un plaisir pour nous, (éd. Bosso) travailler avec Patrick de charme. Son numéro qui transmet à notre concert promet des surprises Bellemagny (y compris un cheveu croquis)."

"(. Beccaro ed) un peu comme Thierry Nous avons vu un jour dans le Motus, nous l'avons dit, il faut travailler avec ce gars, il est un groove d'enfer"

«Nous avons ajouté quelques noms dans la première partie, en particulier pour notre spectacle avant-dernier: Bernard Montiel nombre d'animaux Farouk camion rétro-éclairé tout Allain Bougrain Dubourg chanson projection Antonin Artaud attend la mort énorme de Bernard dans son dernier épisode Sous le soleil (dans un cycle de 360. degrés sur une base régulière). "

"Avavavavavava"

«Vous voyez, le créole saucisse mord deux fois ... une fois quand il est revenu, il a une fois partagé"

"Cette tournée s'annonce un moment satisfaisant alors que la moyenne générale comme insignifiant. Mais il ne sera pas, et ne sera lorsque l'on regarde vraiment ce ... (larmes) ... Je t'aime ..."

"AAA AAA paire de couilles" (qui était sur le public a crié, a reçu en réponse aux talents célèbres manifestations bruyantes des deux musiciens. Collection Qui sonnaient, marquant la fin de la conférence).

Mais après quelques minutes et dire la complicité, sur le bras de son séducteur, en bons chrétiens, ils vont «Allons-y, allons-y", il a pris sa voiture sur le côté SIAEP mini-bus a crié: «Allez vient maintenant" pour ceux qui veulent écouter et tout aveugle, dorment encore dans la rue Altenach. Il a également estimé que les mots "la perforation, trous du cul" à reconnaître le prochain coup, mais Peter Schlager veau blessures. Il a également suggéré que, après le concert code PIN. »


Maison de la Nature, ce matin, au cours d'un hélicoptère, nous mourons pas public stupéfait premier pas vers commencent à regarder.

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